Poétiques, incisifs, oniriques, ironiques, thérapeutiques, les collages de Marie-Hélène Racine ont tous un petit quelque chose qui nous rappelle les aléas de la vie.

L’artiste visuelle s’inspire du vécu pour assembler ensemble des morceaux de fiction et des mots qui ont du sens. À méditer sans modération.

«J’écris souvent en même temps que je colle. Et je colle à peu près comme j’écris. Je travaille majoritairement à partir de souvenirs et de traumatismes qui dégoulinent de mon enfance. (Presque) tout est autofictionnel. C’est une sorte de cure. Ça m’apaise. Les couleurs des images, les textures, les différentes expressions des visages figés pour toujours par la photographie, les titres parfois drôles, souvent intenses; tout ce que je trouve dans les revues me permet de voyager sans trop de brusqueries dans mon univers intérieur amoché», m’indique-t-elle.

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